Première rencontre virtuelle des membres du Club des Jeunes Diplomates Francophones (SPFA)

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La première vidéoconference du Club des Jeunes Diplomates Francophone (SPFA) a eu lieu le 2 mai. C’était un vrai plaisir de se retrouver après plus qu’un mois de séparation due au coronavirus. Avant d’entrer dans le vif du sujet les participants ont voulu s’assurer de la bonne santé de leurs amis et de leurs familles; en constatant le fait que parmi leurs connaissances personne n’était atteint du coronavirus.

Le thème de la discussion «Les gouvernements contre le coronavirus» a été ouvert par l’animatrice du Club Taguhi Parémouzian qui avait préalablement fait une petite étude sur l’état actuel de la crise sanitaire dans quelques pays les plus touchés par la pandémie.

Puis, les participants ont à tour de rôle parlé des mesures prises notamment par les gouvernements de la France, des Etats-Unis, de la Russie, de l’Italie, de l’Espagne, de l’Allemagne, de l’Arménie face à la pandémie.

Après un long débat de deux heures, les jeunes ont mis en relief les conclusions suivantes:

  1. Le coronavirus a arrêté (peut-être temporairement) l’afflux des migrants dans les pays de l’Europe.
  2. Aucun acte terroriste n’a été commis depuis le début de la pandémie.
  3. A cause ou plutôt grâce au confinement, et surtout grâce à la très forte diminution des déplacements et à la quasi-absence de transports en communs, l’air et les eaux sont moins pollués qu’auparavant.
  4. Le télétravail a enregistré beaucoup de succès.
  5. Les gens ont appris à avoir de la compassion envers les gens morts dans n’importe quel coin du monde.
  6. Les Etats ont compris qu’il faut apprendre à être plus autonome et autosuffisant.
  7. Des dizaines de milliers de décès ont été enregistrés dans le monde à cause de la pandémie.
  8. La pandémie a énormément nui à l’économie mondiale
  9. Augmentation des cas de violence conjugale ou familiale favorisée par le confinement.
  • Le stress, la peur et la dépression ont augmenté
  • Les gens étaient privés de mener une vie normale, de voir leurs familles et leurs amis.

On peut continuer cette liste mais nous avons clôturer la discussion en espérant revenir bientôt à la vie normale et vivre pleinement la vie qui nous est offerte pour un très court temps pour pouvoir aimer, étudier, travailler, avoir des enfants et ne pas oublier de vivre en sorte que nos actions soient bénéfiques pour la société car on n’est pas éternel, hélas!

 

Vartouhi Pétrossian